Cet article, écrit par Jean-François Nadeau, détaille la première école au Québec à adopter un programme des sports électroniques. L’école, qui s’appelle l’Académie Sainte-Marie, aura son programme dès l’automne prochain. Chaque semaine, les étudiants passent 3 heures pour apprendre des sports électroniques. La moitié du temps, ils apprendront la théorie et l’autre moitié, je suppose, sera pour pratiquer. Le premier groupe à essayer le programme sera 28 étudiants, qui étudieront le jeu Overwatch : « Le choix du jeu s’est fait en fonction de l’aspect travail d’équipe. Il demande aussi beaucoup de leadership, de stratégie, de synchronisme. L’intérêt des jeunes pour Overwatch a aussi fait une différence, » disait par le directeur général de l’Académie esports de Québec, Philippe Gauthier. Pour ceux qui disent que les élèves passent trop de temps devant l’écran, ils vont aussi faire l’activité physique. Les sports électroniques est une activité proposée par l’école depuis trois ans et elles ont eu de nombreux avantages. Pour le plus important avantage, peut-être les élèves n’ont pas beaucoup de vie sociale deviennent plus heureux et trouvent une autre motivation pour aller à l’école.

Récemment, l’industrie du sport électronique a gagné en popularité. L’industrie devient incroyablement lucrative. Pour un exemple récent, l’adolescent Kyler Giersdorf, a gagné un tournoi Fortnite et il a gagné des millions de dollars. Personnellement, je ne joue pas aux jeux vidéo, alors je n’ai pas d’opinion particulière sur l’immense popularité du commerce électronique du sport. Mais j’aime comment l’école québécois a mis un program des sports électroniques. L’école est un lieu où les élèves doivent exprimer leurs passions. Donc, j’adore l’idée que les élèves peuvent apprendre des jeux-vidéo après-école. Cela ressemble à ma passion pour le football et comment je peux pratiquer football après-école. Ou si quelqu’un est passionné de théâtre ou de groupe ou plus.